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Devant une cinquantaine d’acteurs du BTP engagés sur la question de l’économie circulaire, l’association CircoLab a présenté les travaux de sa première année d’existence et les défis à relever.L’association CircoLab tente de lever les obstacles au réemploi des matériaux. Dans le pays du béton et des démolisseurs, la tâche n’est pas aisée. Notamment à cause des freins liés à l’aptitude à l’usage des produits, les risques sanitaires induits ou l’assurabilité (décennale, dommage ouvrage).Pour relever ce défi, l’association a pu compter sur le soutien d’une quarantaine de maîtres d’ouvrage privés et publics, d’entreprises de construction (Vinci Construction), d’architectes, de bureaux d’études, d’avocats, de contrôleurs techniques et d’organisations professionnelles (EGF.BTP).
"Cette première année préparatoire nous a permis de poser les fondations, notamment avec la question fondamentale de l’assurabilité, indique Thierry Laquitaine, président de l’association. « Désormais, nous allons entrer dans une phase opérationnelle où nous allons intégrer des clauses dans les cahiers des charges, fixer des objectifs avec nos prestataires, architectes, entreprises, démolisseurs et travailler sur les questions de traçabilité et de logistique"